Elle était triste, sa famille s'était complètement divisée après le départ de Rebekka. Déprimant même. En plus, lorsqu'elle était enfin revenue à l'école, tout avait changé, la vie avait évolué. Elle avait l'impression de n'avoir jamais existé ici. Déia sentit sa détresse et vit se poser près de son amie, posant une aile réconfortante sur ses épaules. La jeune femme sourit, reconaissante à son familier si important à ses yeux.
"Merci Déia. Tu m'es d'une grande aide. Il faudrait qu'on se délaisse un peu moins, tu ne trouve pas?"
*Oui, Rebekka, t'as raison. On devrait rester en contact visuel plus souvent que mental je pense...*